Gouvernement Princier de Monaco
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Reportages d'Euronews 2013-2014

Ballets & Opéra à Monaco – Where the arts blend

Monaco Life 30/10/2014

Le rayonnement de Monaco à l’international est, entre autre, culturel.

L’académie Princesse Grace, la compagnie des Ballets de Monte-Carlo, l’Opéra de Monte-Carlo sont devenus, chacun dans leur domaine des experts reconnus dans le monde entier pour former des danseurs hors pair et faire évoluer les arts.

  • Reportage à l’académie Princesse Grace
  • Reportage à la compagnie des Ballets de Monte-Carlo
  • Reportage à la Salle Garnier sur l’Opéra de Monte-Carlo

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Né pour être monégasque

Monaco Life 14/10/2014

La vie à Monaco est empreinte d’une identité forte, notamment grâce à ceux qui créent et perpétuent des marqueurs forts de cette identité, dans différents domaines.

Le sport automobile fait parti de l’ADN des monégasques et les monégasques participent activement à le faire évoluer, notamment vers les énergies nouvelles.

Le Barbajuan, une spécialité culinaire, est concu, toujours de la même manière, selon une recette historique et secrète.

La langue monégasque est toujours enseignée dans les écoles pour perpétuer cette langue.

  • Introduction sur l’identité monégasque
  • Reportage chez Venturi
  • Interview Michel Ferry, Commissioner General Automobile Club de Monaco
  • Reportage chez Marc Costa, Boulanger 
  • Reportage dans une classe de collège étudiant le monégasque

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Monaco "Dedicated to the Sea"

Life 29/09/2014

La Principauté de Monaco, état de 2km2 adossé à la France, est résolument tourné vers la mer. Depuis toujours en Principauté, la mer est une préoccupation quotidienne dans tout ce quelle représente. Ce reportage montre deux lieux représentatifs de cet engagement : le musée Océanographique et le Yacht Club de Monaco.

  • Reportage dans le musée océanographique
  • Interview de Patrick Piguet, Directeur du patrimoine, Conservateur des collections
  • Focus sur la culture des coraux
  • Interview de Denis Allemand, Directeur scientifique du Centre Scientifique de Monaco
  • Reportage sur le Yatch Club de Monaco
  • Interview de Bernard d’Alessandri, Secrétaire Général du Yatch Club de Monaco

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Monaco : le boom des visiteurs d'un jour

Target 23/09/2013

A Monaco, le tourisme n’est pas le monopole des riches.

7 millions d’excursionnistes déferlent chaque année sur le Rocher pour une, et une seule journée. Ce tourisme de masse est alimenté par le boom des croisières -170 escales par an à Monaco de mai à octobre. La construction d’une digue de protection en 2002 a en effet permis au port Hercule de s’agrandir et d’accueillir les gigantesques paquebots.

“Ces visiteurs à la journée sont des gens qui viennent par curiosité, qui viennent savoir ce qu’est la Principauté de Monaco, à quoi elle ressemble et qui aiment flâner dans nos rues,” explique Guillaume Rose, directeur de l’office du tourisme de Monaco.

Les excursionnistes arrivent aussi des régions limitrophes, qu’ils y résident ou y passent leurs vacances. Leurs nationalités sont variées. Résultat : à Monaco, les commerçants ressentent bien moins la crise.

“Dans l’ensemble, ça va,” reconnaît Laurent Castex, serveur au bar La Pampa, sur la place du Palais. “Le Russe commence à venir un peu plus sur Monaco, on a une clientèle d’Américains, d’Anglais, de Dubaï. On est vraiment international.”

Haut de gamme, d’affaires et populaire cumulés, le tourisme c’est au moins 450 millions d’euros par an pour ce micro-Etat, soit plus de 10% de la richesse nationale. Mais quid du budget des excursionnistes ? Celui-ci varie du simple sandwich à plus de 1000 euros.

S’il est difficile d‘évaluer combien ces touristes dépensent à la journée, on sait en revanche quelles sont leurs attractions préférées.

Accroché au rocher, le Musée Océanographique de Monaco est la grande vedette de la principauté. Inauguré en 1910 par le prince explorateur Albert Ier, ce joyau d’architecture draine plus de 600,000 visiteurs par an. Un succès dopé depuis juin par l’exposition Requins.

“Depuis l’ouverture de l’exposition Requins, nous avons noté une augmentation de la fréquentation du musée de l’ordre de 10 à 15%, se félicite le directeur du musée, Robert Calcagno. Le public a la possibilité de caresser des requins, d’affronter sa peur, d’aller au-delà de ce malentendu.”

Mais c’est évidemment le Palais Princier qui garde le haut de l’affiche. Pas besoin de débourser un centime pour photographier la relève de la garde.

Concentré sur 2 km carrés, Monaco peut se découvrir en un jour et à moindre frais. Et ce qui n’a pas de prix, c’est la part de rêve.

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Monaco : une industrie qui grimpe

Target 30/09/2013

A Monaco, tout n'est pas que luxe, calme et volupté. Plus de 5.000 entreprises sont installées sur le Rocher. Parmi elles, 111 sociétés industrielles, soit 3.000 emplois. Produits pharmaceutiques, équipements automobiles, technologie de pointe ou encore prêt-à-porter de luxe, la principauté est aussi un État qui produit.

"L'industrie, en tant que telle, représente environ 6% du PIB, là ou l'immobilier représente en représente 9 et par exemple, les services financiers 15% environ," précise Jean Castellini, ministre de l'économie et des finances de la principauté.

De l'extérieur, difficile de deviner les ateliers derrière les façades d'immeuble. Et pourtant...

Anne-Marie Noir dirige les laboratoires Asepta-Akiléïne. Toute la production se fait à Monaco... Sur 5 étages. Une contrainte, explique-t-elle. "Ca ne facilite pas du tout la production. Une autre contrainte, poursuit-elle, c'est le prix des loyers à Monaco. Nous, nous bénéficions d'une aide gouvernementale, nous sommes dans un immeuble qui appartient au gouvernement, mais c'est vrai que ça pose aussi un problème pour les salariés parce que les loyers sont très chers à Monaco pour se loger."

L'essentiel des 109 salariés du groupe viennent chaque matin de France et d'Italie. Tous secteurs privés confondus, 45.000 travailleurs dits "pendulaires" se rendent quotidiennement à Monaco. C'est 9.000 personnes de plus que la population de la principauté.

Autre métier, mêmes problèmes : le groupe Bettina, spécialiste de la maille haute-couture. Philippe Prud'homme dirige cette société de 120 employés qui fournit les maisons Hermès et Chanel. "Vous allez voir, ça fait ruche," prévient-il avant d'entrer dans l'atelier, à l'étage. En dépit du casse-tête logistique, il reconnaît un grand atout à Monaco :"On ne va pas se préoccuper de se faire cambrioler tous les matins en se levant. On est dans une zone surveillée, on travaille dans la plus grande tranquillité."

Mais au fait, qu'en est-il des avantages fiscaux ?

Jean Castellini est catégorique : "l'impôt sur les sociétés n'est pas particulièrement avantageux à Monaco puisque c'est le taux français. Il est à 33,3%. Donc, nous ne pouvons pas pratiquer une forme de dumping fiscal."

En revanche, outre l'octroi de locaux industriels domaniaux - comprenez à loyers préférentiels, l'Etat concède aux entreprises des aides à la formation et à la recherche.

Philippe Prud'Homme, lui, milite pour la création d'un label clairement identifiable, afin de faire savoir au monde entier qu'à Monaco, il n'y a pas que l'argent qui travaille.

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Monaco, le défi urbain

Metropolitan 09/09/2013

Monaco avec ses 2 km² pour 36.000 habitants affiche l’une des plus fortes densités de population au monde : cette poche de prospérité et de dynamisme attire chaque année, de nouveaux résidents étrangers fortunés. Pour les absorber, la ville saturée doit se réinventer et quand on n’a pas de place, il faut des idées.

“Le défi le plus important pour la principauté est bien sûr de pouvoir s’agrandir puisqu’une étude a montré qu’on a besoin d’environ 350.000 m² supplémentaires tous les 10 ans,” souligne Marie-Pierre Gramaglia qui gère le portefeuille de l’Equipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme au sein du gouvernement monégasque. “Donc on mène une politique d’urbanisation qui va s‘étendre sur la mer, qui va se reconstruire sur la ville avec des immeubles de plus en plus hauts,” précise-t-elle.

Gagner sur les flots est une préoccupation ancienne : dès 1965, le Prince Rainier III a lancé la plus ambitieuse extension en mer de l’histoire de Monaco en bâtissant le terre-plein de Fontvieille. Sept millions de m³ de remblais et huit ans de travaux ont été nécessaires. La principauté a gagné 22 hectares, soit 15 terrains de football. Une prouesse d’ingénierie. “Les contraintes sont considérables à Monaco si bien qu’on est appelé à réaliser – en matière de chantiers souterrains ou maritimes – des travaux qui sortent de l’ordinaire,” estime René Bouchet, ingénieur conseil. “Aucun pays au monde,” insiste-t-il, “n’a encore fait de travaux comparables à ceux que nous devons réaliser à Monaco.”

Ingénieur conseil auprès de la principauté, René Bouchet a travaillé sur la toute dernière extension en mer monégasque : la digue brevetée qui protège le port Hercule de la houle. “Devant les digues anciennes, nous avons des profondeurs d’eau de 45 à 55 mètres si bien qu’il ne nous était pas possible de faire une digue classique,” explique-t-il avant d’ajouter : “nous avons cherché longtemps à faire un ouvrage respectueux de l’environnement marin qui arrêterait l‘énergie des vagues là où l‘énergie se trouve, c’est-à-dire dans la partie supérieure du plan d’eau.” Résultat : une digue de béton semi-flottante construite à Gibraltar et acheminée par mer à Monaco en 2002.

Nous descendons au niveau – 4 du parking de la digue pour comprendre comment elle prend appui sur la terre. René Bouchet nous montre un “ouvrage métallique impressionnant qui permet de fixer la digue,” dit-il, “et qui permet de transmettre à la terre les efforts que la digue supporte quand elle est soumise aux très grandes tempêtes.”

Et d’ailleurs, l’aventure continue : une nouvelle extension en mer fait actuellement l’objet d’un appel d’offres.

A terre, la ville se vit à la verticale. Lovée à flan de montagne, Monaco a appris à se jouer du dénivelé à grands renforts d’ascenseurs publics et d’escalators. Au total, une quarantaine de liaisons mécanisées complètent les escaliers traditionnels.

Côté architecture, les Monégasques ont coutume de dire que la France commence là où les immeubles s’arrêtent. Le XXIème siècle renoue d’ailleurs avec la tentation des hauteurs. Encore en gestation, la luxueuse tour Odéon inscrira un nouveau record à 170 mètres.
 Pensée par l’architecte monégasque Alexandre Giraldi, elle sera livrée l‘été prochain. “Elle marque pour la principauté, un tournant du point de vue de l’architecture,” insiste Alexandre Giraldi, “puisque l’on revient à des bâtiments de grande hauteur qui avaient été abandonnés pendant une vingtaine d’années en principauté, mais au travers d’une architecture contemporaine.”

De ses 49 étages, la vue est imprenable et a un prix : comptez de 40.000 à 90.000 euros le m². Le penthouse au sommet avec piscine extérieure et vue panoramique est annoncé comme l’appartement le plus cher du monde.

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