Vœux du Directeur du CHPG à l’ensemble des professionnels de l’Hôpital

En présence de S.A.S. le Prince Souverain, M. Patrick BINI, Directeur du Centre Hospitalier Princesse Grace, avec à ses côtés, le Conseiller de Gouvernement pour les Affaires Sociales et la Santé, M. Stéphane VALERI a présenté aujourd’hui ses vœux à l’ensemble des professionnels de l’hôpital. Le Conseiller de Gouvernement pour l’Equipement,  l’Environnement et de l’Urbanisme, Mme Marie-Pierre GRAMAGLIA, le Président du Conseil National, M. Laurent NOUVION, le Président du Conseil d’Administration du CHPG, M. André GARINO, ainsi que de nombreuses personnalités, participaient également à cet événement. A cette occasion, M. Patrick Bini a dressé un bilan complet de l’année 2015, en la qualifiant d’« année complexe, mais emplie de nombreuses satisfactions ». Cette année se caractérise par :

•  une situation budgétaire maîtrisée pour la 8^ème année consécutive
•  l’obtention de la Certification V0214 catégorie A sans recommandation et sans réserve, de la part de la Haute Autorité de Santé française
• le début des travaux du nouvel hôpital, la fin de l’extension de la crèche pour le personnel, qui ouvrira au 1^er trimestre, la fin des travaux du boc C Tamaris et la fin des travaux de la rénovation du secteur de la mammographie
• une politique des ressources humaines efficiente, avec notamment une prime de fin d’année, très appréciée, l’accession de Monégasques à des postes de responsabilité
• une poursuite de la modernisation et de la mise à niveau de l’établissement actuel, grâce au soutien financier important du Gouvernement Princier
• et enfin la poursuite d’une ouverture à l’international, en promouvant l’attractivité médicale de la Principauté.

A l’issue du discours de M. BINI, S.A.S le Prince Souverain a tenu à exprimer l’attachement qu’il porte à cet établissement et aux personnes qui le font vivre, tout en rappelant que  « nous devons être guidés par le souci de la satisfaction du bien public. Les intérêts particuliers doivent par conséquent s’effacer devant ce dernier, c’est l’âme même de la médecine qui le suppose. Je suis certain que chacun ici en est conscient et partage cette approche ».